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Selon Recyc-Québec, très peu de déchets devraient aller dans le bac noir pour être enfouis. En effet, parmi les matières résiduelles générées dans le secteur résidentiel, on retrouve une proportion de :

  • 47 % de matières organiques (restes alimentaires et résidus verts) qui peuvent être mises dans le bac brun aux fins de compostage ;
  • 35 % de matières recyclables (papier et carton, contenants de verre, plastique et métal) qui peuvent être mises dans le bac vert aux fins de recyclage ;
  • 8 % de déchets de construction qui peuvent être apportés à l’écocentre en grande partie aux fins de valorisation ;
  • 4 % d’encombrants qui peuvent être apportés à l’écocentre en partie aux fins de valorisation ;
  • 3 % de textiles qui peuvent être apportés pour réemploi ou recyclage, soit dans un organisme de bienfaisance (si en bon état) ou à l’écocentre de la RIDR (pas en bon état);
  • 1 % de résidus domestiques dangereux qui peuvent être apportés à l’écocentre aux fins de valorisation ;
  • 2 % de matières diverses non compostables et non recyclables (plastique non recyclable, couches et serviettes hygiéniques, etc.).

Selon la Régie intermunicipale des déchets de la Rouge (RIDR), en 2019, le coût par tonne pour l’enfouissement était de 106,28$. En 2020, il est de 112,94$/tonne. Pour illustrer l’importance de la valorisation des matières putrescibles, en autre, lors la collecte des bacs bruns du 27 juillet dernier, 6,2 tonnes n’a pas été envoyées vers l’enfouissement, ce qui a résulté une économie de 700$ et pour l’environnement.

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